Le focus spécial de l'année est cette fois consacré à des comparatifs de doublages francophones.
LesGrandsClassiques.fr rejoint l'aventure du nouveau réseau Bluesky Social.
LesGrandsClassiques.fr fête son 22e anniversaire.
Après plusieurs semaines de réflexion, LesGrandsClassiques.fr quitte définitivement Twitter devenu X.
Le focus spécial de l'année, « Sélection Gulli », est consacré à la collection DVD numérotée par la chaine télévisée française Gulli qui fut créée en 2013 autour d'une cinquantaine de longs métrages de tout horizon, spécialement adaptés aux familles avec enfants, avant que celle-ci soit finalement abandonnée en 2014.
LesGrandsClassiques.fr fête son 21e anniversaire. L'année aura surtout été marquée par la refonte graphique complète du site, après onze années sans aucune modification esthétique.
Le catalogue bascule à son tour en version 7. La refonte complète du site, entamée depuis six mois, est désormais entièrement achevée.
Le site bascule partiellement en version 7, à l'exception du catalogue dont la refonte s'annonce plus difficile à réaliser.
Le focus spécial de l'année, «Évacuons les 2 suites !», est cette fois-ci plus léger que d'ordinaire, puisqu'il est réalisé en prévision de la refonte du site en version 7. Il est consacré à la refonte des analyses des suites produites par Disney spécialement en vidéo ou au cinéma.
Après 19 ans de collaboration fructueuse, et 15 années hébergée chez eux, I-Services m'informe qu'il n'assurera désormais plus l'hébergement d'aucun site web, car les frais de maintenance sont devenus bien trop coûteux pour eux. LesGrandsClassiques.fr doit déménager et s'installe chez PlanetHoster.
Un nouveau cap est franchi, LesGrandsClassiques.fr fête son 20e anniversaire ! Sans évènement particulier, ni jeu concours, ni cotillon, les circonstances des dernières années n'ayant pas permis de préparer quelque chose d'amusant ce coup-ci.
Les divers confinements épuisants, le télétravail obligatoire et le manque de motivation empêche de tenir un «Spécial Été» en 2021. Celui-ci est donc décalé entre décembre 2021 et février 2022. Il fut consacré aux «Muppets».
Le focus spécial de l'année était consacré à «Détective Conan».
Suite au premier confinement relatif à la pandémie COVID-19, la bande passante explose à nouveau. I-Services relève une fois encore le quota mensuel de bande passante.
Le focus spécial de l'année avait pour thème «Tintérix», en d'autres termes l'analyse des films Tintin et Astérix.
Après avoir longuement délaissé les films d'animation Disney, LesGrandsClassiques.fr revient à ses premières amours en refaisant revenir la marque en force sur le site, sans pour autant négliger la concurrence.
I-Services bascule le site sous PHP 7 sans avertissement. Cela engendre de nombreux problèmes sur le site, qui nécessitent quelques ajustements dans le code source pour fonctionner à nouveau correctement.
Le focus spécial de l'année a été consacré à la série télévisée «One Upon A Time».
Le focus spécial de l'année traitait des films «Interdits aux enfants».
Les problèmes de bande passante deviennent de plus en plus récurrents. I-Services relève le quota au cas par cas selon la demande, engendrant de nouveaux frais supplémentaires.
Pour la toute première fois, le quota mensuel de bande passante accordé par l'hébergeur est dépassé et explose littéralement. Le site devient inaccessible pour la 3e fois de sa vie et ne réapparait qu'au matin du 01 janvier 2017.
Pour fêter comme il se doit les 15 ans du site, un concours géant est organisé sur le site, durant lequel les utilisateurs doivent participer à une grande chasse au trésor avec 15 bons d'achats offerts de 15€ à la clé ainsi qu'une Nintendo 3DS XL aux couleurs de Pokémon.
Le focus spécial 2016 ne s'est à proprement parler pas déroulé durant l'été 2016, car la tâche était trop ardue pour pouvoir le faire face au nombre important de films à traiter. Toutefois, il a bien eu lieu, mais a été dilué tout au long de l'année afin de pouvoir couvrir en intégralité les 14 épisodes de la saga du «Petit Dinosaure».
Les Petites Rencontres explorent l'animation sous un angle inédit en allant à la rencontre de personnes qui sont simplement passionnées ou bien spécialisées dans un domaine, un métier ou une discipline. Dans quel but ? Qu'elles nous apportent leur expertise autour de leur passion ou de leur activité qui est retranscrite par les studios d'animation ! Cinq interview vont être réalisées, avant de devoir y renoncer faute de temps disponible.
Je deviens pigiste pour le site confrère DisneyMagieClub, où je vais produite quatre analyses exclusives avant d'abandonner l'exercice faute de temps disponible.
Le second focus spécial du site était consacré au «Tour du monde de l'animation».
Après avoir fait le tour des films référencés durant la «Saison 2», LesGrandsClassiques.fr assume un peu plus son envie d'ouverture envers les studios concurrents de Disney. Ainsi débute la «Saison 3» du site.
Le site adopte enfin son propre logo officiel.
Afin de contrebalancer la cérémonie des «Mickey d'Or», et apporter une touche humoristique, LesGrandsClassiques.fr propose de participer à la toute première cérémonie du «Prix Stanley» qui récompense les pires films d'animation de l'année.
Suite à la réforme CNIL concernant les sites Web, qui exige que l'utilisateur doit désormais consentir à l'installation des cookies avec un bandeau qui apparait à chaque visite, je prends l'initiative contraire d'éradiquer au maximum tous les cookies du site. Au lieu de s'afficher dès la venue d'un lecteur, le bandeau n'apparait que si l'utilisateur choisit de le faire. Ainsi né à la même occasion l'option «Cookie eXperiences» qui ajoute certaines fonctionnalités supplémentaires si les cookies sont autorisés.
Le second focus spécial du site était consacré aux «Adaptations Live»
Une fois encore, l'affluence du site est telle que le site doit basculer en version Pro chez I-Services.
Le site se dote désormais d'une rubrique consacrée aux adaptations live des films d'animation.
Ouverture du compte Twitter du site.
Le site gagnant en popularité, le site bascule vers une offre Semi-Pro toujours chez par I-Services. Suite à un cafouillage, le site disparait deux jours durant avant d'être remis en ligne.
Toute première initiative officielle de proposer un «Spécial Été» sur le site. Le principe reposant sur l'idée d'analyser des films selon un thème bien précis durant les vacances d'été, là où la grande majorité des sites de fans font généralement une longue pause. Cette toute première édition était consacrée aux «Spécial Pastiches».
Les lecteurs du site prennent le contrôle des mises à jours en répondant à un sondage perpétuel. A compter du 23 février 2013, les analyses du site mises en ligne alternaient entre le film ayant reçu le plus grand nombre de votes, puis celui ayant reçu le moins de voix, et ainsi de suite, toutes les semaines jusqu'au 13 novembre 2014.
Ayant fait le tour de tout ce que je voulais traiter sur le site, quelque peu lassé par les plus récentes propositions de Disney et ne souhaitant pas évoquer les productions non animées du groupe, je décide d'élargir la ligne éditoriale du site qui accueille désormais des studios concurrents. Toutefois, chacun des films et studios proposés gardent un lien étroit avec Disney. Soit parce que Disney a financé en partie leurs films, soit Disney les a juste distribués alors qu'ils ne font pas parti de leur catalogue, soit parce que ces studios ont été fondés par d'anciens employés de Disney. Cette période du site est officiellement appelée «Saison 2».
Grande journée spéciale 10 ans du site fêtée à Disneyland Paris.
Ajout de la section Disney Souvenirs sur Youtube qui propose des vieux documentaires d'époque en français
Le site fête officiellement ses 10 ans et s'offre une nouvelle bannière. A cette occasion, un long documentaire en 6 épisodes est produit.
Le site bascule en version 6. Hormis quelques correctifs ça et là au fil du temps, elle est conservée pendant 11 ans, faute de temps et de moyen pour la changer.
Ouverture de la chaine Youtube du site.
La vidéothèque disparaît totalement du site, le catalogue la remplace désormais.
Le catalogue ouvre ses portes en version Beta dans l'objectif de remplacer la vieillissante vidéothèque. Le site se dote à l'occasion d'une nouvelle bannière
LesGrandsClassiques.fr est invité à contribuer aux «Mickey d'Or» en collaboration avec le site DisneyNext. L'opération sera renouvelée chaque année jusqu'en 2019.
Suite à divers problèmes à la suite d'une mise à jour de script effectué par I-Services, les actualités du site sont désormais migrées sous Wordpress.
Le tout premier «Spécial Été» du site, même s'il n'a jamais porté ce titre, qui s'étalera cependant sur un peu plus de six mois faute de temps pour le terminer à temps, avec Les faits réels de la Jeunesse de Picsou
La page Facebook du site est créée.
Pour ne plus être enfermé dans le seul domaine de l'animation, qui devient étouffant, j'ouvre la section Blog du site dans lequel je propose des analyses d'oeuvres de tout horizon.
Le site se dote à nouveau d'une nouvelle identité visuelle.
Première contribution de Michel Bosc, compositeur et orchestrateur, autour de la musique de films Disney. Cinq autres dossiers suivront ensuite, avant que ce dernier se décide à publier son premier essaie chez L'Harmatan quelques années plus tard.
À bout de souffle suite à de nombreux problèmes personnels et professionnels, je finis par craquer et ferme la porte du site pendant 15 jours.
Le site bascule en version 5.
Disparition de la lettre d'information, devenue redondante et contraignante, face au flux RSS qui coexistait avec elle.
Le site adopte une nouvelle identité visuelle.
A compter de cette date, le site est désormais intégralement hébergé par I-Services et adopte son adresse définitive :
http://www.lesgrandsclassiques.fr.
La section musicale du site compte désormais 101 pistes de musiques inédites dans le commerce en streaming. Suite au renforcement des contrôles sur les droits d'auteurs, cette rubrique disparait finalement moins d'un an plus tard.
Je retourne pour la seconde fois au célèbre parc français, 5 jours durant.
Le site bascule en version 4.
L'initiative de Pascalos fait des émules, mais il n'a plus le temps ni l'énergie de s'en occuper. Aussi, le projet de fans est désormais piloté par LesGrandsClassiques.fr.
Disney annonce la mort définitive de la VHS dont il ne commercialisera désormais plus aucun film sous ce format.
DisneyMagieClub devient le second partenaire du site.
Originellement consacré aux VHS et DVD, pour la partie vidéo, le catalogue propose désormais de référencer aussi les supports moins populaires comme le Laser Disc.
Le site se dote d'un fil RSS pour tenir informé ses utilisateurs de toutes ses mises à jour.
Entre 2002 et 2005, le site comptait tout un tas de bandeaux publicitaires, même si cela ne permettait pas d'avoir le moindre revenu grâce à eux. Décision est prise d'abandonner toute forme de publicité sur le site qui fonctionnera désormais par financement propre.
Le site bascule en version 3 et migre chez un nouvel hébergeur. On accède désormais au site avec l'adresse http://lesgrandsclassiques.free.fr.
Sur le forum de la Gazette du Doublage, Pascal R., dis «Pascalos», conçoit trois DVD combinant la vidéo restaurées de trois films et leurs doublages d'époque : Peter Pan, Cendrillon et La belle et le clochard. L'idée séduit et elle est reprise sur Disney Central Plaza par d'autres fans autour d'autres films Disney redoublés.
Ouverture des sections «Zone vidéos», qui reprend de nombreux extraits de vidéos de films Disney, et «Zone musiques», qui propose un lecteur de musique en streaming.
Suite à une multitude d'attaques, le forum du site ferme définitivement ses portes. Disney Central Plaza le remplace et devient le nouveau partenaire du site.
Tiscali se fait absorber par Alice ADSL. L'adresse du site change et devient http://lesgrandsclassiques.chez-alice.fr
Depuis un téléphone portable compatible, il est désormais possible de suivre les mises à jour et les actualités via le protocole W@P à l'adresse: http://siteswap.orange.fr/Olikos.
Le site passe en version 2. Les rubriques «Actus», «Livre d'Or», «Boutique» et «Sondage» sont ajoutées et tournent avec des script fournis par le site I-Services.
Ouverture de la toute première version du site. Il contient à ses origines les rubriques «Critiques», «Galerie», «Musique», «Multi-Forum», «Les films à la T.V.», «Versions Intégrales», «Jeux Vidéos», «Livres» ainsi qu'une section «Concurrence» contenant la fiche du Prince d'Egypte. Pour se tenir informé des mises à jour, une lettre d'information est également disponible en s'abonnant avec son adresse mail.
Mise en place d'une page temporaire du site à l'adresse http://lesgrandsclassiques.chez-tiscali.fr
Atlantide, l'empire perdu sort en salle en France. Alors que je crie au génie, le film se fait unanimement laminer par à peu près tout le monde. Cette injustice est le facteur déclencheur de la naissance du site.
Au fil du temps, Zuzu Disney s'oriente vers l'univers complet des films signés Disney, Disney Central Plaza développera d'autres univers au delà de celui des parcs d'attractions. C'est alors que germe l'idée de la création du site Les Grands Classiques. Bien que toujours très satisfait de Zuzu Disney et Disney Central Plaza, leurs nouvelles orientations les éloignaient tout deux de ce que j'aimais par dessus tout chez Disney, les longs métrages animés. Noyés au milieu d'autres produits du groupe, ils n'étaient plus mis en avant à mes yeux. Etant fan de l'animation en tout genre, aussi bien d'origine américaine, européenne ou japonaise, mais pas 100% Disneyphile, le chois de porter un site Disney était cependant logique car c'était ma compagnie favorite pour les longs métrages, mais pas du tout du cas du reste de leurs productions. Aux courts-métrages animés, je préfère de loin les cartoons de la Warner ou de Hanna Barbera ; aux moyens métrages animés, les productions françaises ou japonaises ; les films et téléfilms m'ennuient trop souvent, et je préfère très souvent les autres productions des grands studios concurrents ; quand aux séries télévisées...
Avant la véritable première version du site, il y a d'abord eu le cahier Clairefontaine ! Format classique de 288 pages, le cahier Les Grands Classiques reste encore aujourd'hui l'une de mes principales sources d'informations pour tous les films de Blanche-Neige et les sept nains jusqu'à Peter Pan 2. Ayant été complété et enrichi à plusieurs reprises avant de passer à la version en ligne, mon cahier Les Grands Classiques regroupe analyses, critiques, détails et anecdotes écrites à la main. Ces écrits condensant eux-mêmes les nombreuses coupures de presse et brochures publicitaires que je conserve depuis 1990 ! Dans ce cahier chaque information y est 100% vérifiée.
Les années 2000 furent pour moi une grande libération. L'université et l'entrée dans la vie active, couplée avec la rencontre d'un nouveau groupe d'amis et de nouvelles expériences enrichissantes, se révélèrent plus que bénéfiques. Évidemment, cette liberté gagnée fut rapidement grignotée par les à côtés de la vie quotidienne, sans compter qu'un nouveau support venait de naître : le DVD ! Difficile alors de ne pas essayer de renouveler sa collection sur ce support.
Je découvre l'Internet durant mes années de lycée, en ayant choisi l'option facultative d'informatique. Bien que je sois devenu presque immédiatement un utilisateur régulier de celui-ci, le temps me manquait de réaliser un site Disney, et le besoin ne s'en faisait pas vraiment ressentir. Assez curieusement, les sites personnels sur l'univers Disney se faisaient rares, apparaissant et mourant trop rapidement sur la toile mondiale. Ce n'est finalement qu'avec les années 2000 que les sites se multiplient. Aussitôt, je croise le chemin de Zuzu Disney, qui ne porte alors pas encore ce nom. Agréable, simple, pertinent, le site de Zuzu est probablement mon plus "vieux" lien favori que je traîne désormais depuis le début de sa création. Dépassant très rapidement son simple grade de site personnel, Zuzu Disney devient une mine d'information internationale de l'univers Disney, se révélant même plus complet que le très ennuyeux site officiel. De l'autre côté, un petit forum de fans sans grande envergure va très vite galoper et suivre le même chemin : Disney Central Plaza.
Après la sortie de Le bossu de Notre-Dame, je ne remis plus les pieds en salle en famille pour un film d'animation Disney. Étant un garçon entrant désormais au lycée, aller voir un "dessin animé" m'étais fortement reproché, aussi bien au niveau de ma famille que celui de mes amis. Cette situation, tous les jeunes fans y sont plus ou moins confrontés à une période ou une autre. Je ne découvrais les chefs d'oeuvre Disney qu'après leurs sorties vidéos, parfois même achetés sous le nez de mes parents pendant mes heures "creuses" de lycéen car ils s'y opposaient farouchement.
La France ayant été paralysée par une grande grève générale en 1995 lors de la sortie en salle de Pocahontas, une légende indienne, je loupais la projection du film. Je me rattrape avec Le bossu de Notre-Dame qui confirme ma passion débordante pour Disney. S'il n'y avait pas eu la chanson "Un gars comme toi", j'aurais hurlé au chef d'oeuvre.
Le studio Pixar révolutionne le monde de l'animation avec son premier long métrage entièrement réalisé en 3D par informatique, Toy Story. Alors que le monde entier salut l'incroyable performance technique d'une telle réalisation, je ressors extrêmement déçu de la séance, n'ayant été emporté ni par l'intrigue, ni par les personnages, ni par la technique que je juge extrêmement froide.
Ayant raté le coche pour Aladdin l'année précédente, Le roi lion sort en salle en France, une fois encore une expérience formidable et une déferlante de tubes musicaux qui envahissent les hondes radios et tournent en boucle plusieurs mois durant.
Après une nuit entière en train, je foule pour la toute première fois le parc EuroDisney pour deux uniques journées mémorables.
La belle et la bête arrive dans les salles. Ce coup-ci, bien décidé à aller le voir dans les temps, je prétendis à mes parents que j'avais réussi haut la main mon devoir de français (ce n'était évidemment pas totalement vrai). Je tombais alors littéralement en amour devant le film qui reste encore aujourd'hui mon plus marquant souvenir d'une projection cinématographique d'un long métrage animé signé Disney. Il me fallait avoir tous les longs métrages films Disney, rien ne pouvais plus m'arrêter désormais sauf peut-être l'adolescence. Je visionnais enfin La petite sirène, confirmant ainsi ce besoin maladif de tout voir et de tout connaître.
Peter Pan ressort en salle en France, on s'y rend en famille. Je n'en garde qu'un très vague souvenir, le film ne m'ayant pas marqué plus ça.
L'année suivante, en 1991, Bernard et Bianca au pays des kangourous était à l'affiche. Je fis donc des pieds et des mains à mes parents pour obtenir un accord de le voir. Évidemment, une condition me fut imposée, je devais avoir de bonnes notes à l'école. Lorsque mon bulletin scolaire arriva enfin, nous partîmes joyeusement au cinéma, où je découvris avec horreur que le film n'était plus à l'affiche. Je dus donc me contenter de Fievel au Far West. Pour me consoler un peu, je reçu un magnifique cadeau (dont je ne me rappelle plus la raison) en février 1992 : Merlin l'enchanteur et Cendrillon. Nous étions alors en pleine effervescence Disneyenne, avec l'annonce de l'ouverture prochaine d'un parc d'attraction nommé Euro Disney. C'est donc à partir de là que ma passion commença à naître.
Aussi loin que peu remonter ma mémoire, le premier long métrage animé que je découvris au cinéma fut La belle et le clochard lors de sa ressortie cinéma en 1989. J'avoue évidemment que je ne m'en rappelle pas moi-même, puisque mes parents témoignent m'y avoir conduit. Ce n'est réellement qu'avec l'arrivée du magnétoscope, de "La Cinq" de Berlusconi et de "Canal +" que j'entrais dans le monde Disney. Alice au pays des merveilles, Robin des Bois et Mary Poppins sur "La Cinq", Les aventures de Bernard et Bianca sur "Canal +" entre autres m'émerveillaient. Au Noël de 1990, je manquais la projection cinéma de La petite sirène assez stupidement, puisque je tombais dans le panneau commercial en achetant la VHS du film japonais, croyant évidemment qu'il s'agissait de la même version qu'au cinéma. Alors qu'aujourd'hui je trouve cette version de très grande qualité, imaginez-vous la cruelle désillusion que j'eu en la visionnant pour la première fois.